Georges partage sa vision de l’amitié et des relations humaines. Il confie apprécier par-dessus tout les personnes fières d’être elles-mêmes, authentiques, assumées. À l’inverse, il supporte très mal l’ignorance et la jalousie, qu’il perçoit comme des sources de toxicité dans les relations.

Pour lui, une véritable amitié doit avant tout être réciproque : donner et recevoir la même intensité de lien, sinon cela n’a pas de sens. Georges décrit ses amis comme des personnes bavardes, créatives, avec un petit côté artiste et une grande générosité — des qualités qui, au fond, lui ressemblent.

Il évoque aussi le regard que certains portent sur lui, notamment Michel, un peintre et ami proche, qui apprécie son humour et ses « bêtises ». Enfin, Georges revient sur ses plus belles rencontres amicales, marquées par ses voyages. Celles qui l’ont le plus touché ont eu lieu au Liban, un pays qu’il décrit comme profondément accueillant — à l’opposé de certaines expériences plus difficiles ailleurs.

Un témoignage simple, vrai et humain, à la croisée de la personnalité, de la sincérité et de la mémoire des rencontres.