Jimmy partage avec sincérité son rapport à la vieillesse, à la mort et à la transmission. Il explique que le passage de ses 30 ans a été un cap délicat, marquant pour lui la transition symbolique de la jeunesse vers l’âge adulte. Pourtant, avec le temps, il se sent de plus en plus jeune et épanoui, abordant la vie sans contrainte ni peur du vieillissement.
Concernant la mort, Jimmy exprime un mélange d’acceptation et d’inconfort. S’il admet que l’idée de mourir peut parfois lui faire peur, il considère la mort comme une étape naturelle de la vie, qu’il espère la plus lointaine et la moins douloureuse possible. En revanche, il se sent très mal à l’aise face aux situations concrètes liées à la mort — il avoue ne pas supporter l’ambiance des funérailles, ni la confrontation directe avec les corps ou le deuil.
Enfin, lorsqu’il est interrogé sur ce qu’il aimerait transmettre, Jimmy reste humble. Il n’a pas d’attente particulière quant à la manière dont il sera perçu ou mémorisé. Ce qu’il souhaite avant tout, c’est qu’on se souvienne de lui comme d’une personne bien, fidèle à ses valeurs.
Un témoignage touchant, spontané et authentique, qui invite à réfléchir à notre propre rapport à la vie, à la mort et à l’héritage que nous laissons derrière nous.