Marc partage avec passion son admiration pour Georges Brassens, qu’il considère comme son maître à penser. Il revient sur son enfance marquée par les chansons de Brassens, transmises par son père, et explique comment elles ont éveillé en lui une curiosité pour la langue française. Dès son plus jeune âge, Marc cherchait dans le dictionnaire les mots complexes des textes de Brassens, comme « Moutier » ou « sycophantes », enrichissant ainsi son vocabulaire et sa compréhension du monde.
Au-delà des mots, Marc explore la profondeur des textes et la philosophie de Brassens. Il évoque des phrases marquantes, comme celle où Brassens se définit comme un anarchiste qui traverse toujours sur les clous pour éviter de parler aux policiers. Cette pensée, mêlant liberté et pragmatisme, inspire profondément Marc. Il cite également des passages poétiques et critiques des chansons, comme Le Grand Chêne, où la plume de Brassens brille par sa finesse et sa profondeur.
Marc partage aussi des anecdotes personnelles, notamment ses rencontres avec Pierre Nicolas, le célèbre contrebassiste de Brassens, ou encore Valée Ambroise, une chanteuse ayant interprété ses œuvres. Il raconte avec émotion les Journées Brassens, organisées à Paris et à Vaison-la-Romaine, où il a pu célébrer cet héritage musical avec d’autres admirateurs.
Pour Marc, Brassens incarne une philosophie de vie unique, mêlant liberté, poésie et critique sociale. À travers ses chansons et ses écrits, il a façonné la manière dont Marc perçoit le monde, et reste une source d’inspiration intemporelle.