Odile partage son parcours face aux addictions et à la maîtrise de soi.
Elle n’a jamais fumé, ni bu d’alcool, non par vertu, mais par choix personnel et par goût. Elle explique notamment que, jeune, elle n’avait pas d’argent de poche et préférait investir dans les livres plutôt que dans des cigarettes. Quant à l’alcool, c’est simplement quelque chose qui ne lui a jamais plu. Pourtant, elle sait que pour d’autres, se défaire de ces habitudes peut être un vrai combat.
Mais ce qui l’a profondément marquée, c’est une addiction plus insidieuse : celle au chocolat, qu’elle consommait en grande quantité – jusqu’à 400 grammes par jour – pendant près de dix ans. Elle décrit cette habitude comme un moyen de « manger son stress », principalement lié à sa vie professionnelle. Une forme de compulsion alimentaire, un mécanisme pour ne pas ramener le stress chez elle, pour le contenir, l’avaler… littéralement.
Elle revient aussi sur la manière dont elle a réussi à s’en détacher une première fois, motivée par le désir d’acheter un tableau coup de cœur. Cette décision lui a permis de prendre du recul, puis avec le temps, elle s’est lassée de cette dépendance.
À travers ce récit, Odile aborde la question des addictions sous un angle humain et nuancé. Elle nous rappelle que chacun peut avoir ses failles, ses refuges, mais aussi les ressources intérieures pour en sortir, parfois de façon inattendue.
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