Nicolas revient sur une année charnière : celle de son baccalauréat. Une période où tout s’est accumulé — les révisions du bac, la préparation d’un diplôme exigeant de percussion, des entraînements sportifs intenses — et où il a dû apprendre à jongler avec une charge mentale énorme.
Entre les épreuves scolaires, la technique instrumentale complexe, la compétition de tennis et le besoin impératif d’évacuer son stress par le sport, Nicolas s’est senti dépassé. Pourtant, soutenu par un entourage bienveillant et notamment par son professeur de percussion, il a découvert en lui une force inattendue.
Contre toute attente, il décroche son bac avec mention bien, valide son diplôme musical, maintient son niveau sportif et atteint même le meilleur classement de sa carrière : 152.
Cette année-là lui a révélé quelque chose qu’il ignorait : sa capacité à gérer plusieurs objectifs de front, à s’organiser avec rigueur et à performer dans des domaines très différents. Un moment fondateur, qui continue de le suivre aujourd’hui comme preuve qu’il est capable de beaucoup plus qu’il ne l’aurait imaginé.