Michel partage avec passion son amour pour la cuisine — et plus encore pour la pâtisserie. Il explique qu’il aime la rigueur que demande cet art : pour lui, 120 grammes, ce n’est pas 122.
Il assume son côté perfectionniste, et c’est justement ce qui rend ses desserts si réussis. Il parle aussi du plaisir esthétique que lui procure la pâtisserie : créer du beau autant que du bon.
Il évoque l’héritage culinaire de sa mère, excellente cuisinière lyonnaise, dont il a conservé plusieurs recettes traditionnelles. Parmi elles, il cite le gâteau de foie avec quenelles, et les « criques » — de petits beignets de pommes de terre persillés.
Un témoignage simple, généreux et authentique, porté par la transmission et l’amour du fait-maison.