La Vie d’Albert : Musique, Peinture et Liberté

Albert partage son parcours fascinant dans le monde de la musique et de l’art. Il commence par raconter l’origine de son prénom, Albert, et de son nom de scène, Gilles MusicienPuiset, qui lui a été attribué en 1976 lors de la sortie de son premier 45 tours chez Vogue à Paris. À cette époque, il travaillait intensément à Paris, collaborant avec des groupes de pop music en tant que bassiste, notamment dans Modus Vivendi, un groupe labellisé par Barclay. Albert a eu l’opportunité d’enregistrer dans les studios d’Hérouville avec Dominique Blanc-Francard, un studio réputé à l’époque.

Albert évoque ses débuts dans les premiers groupes de rock des années 60. Il se remémore sa participation au concours de la Guitare d’Or à l’Olympia en 1962, où il a côtoyé des légendes comme Fats Domino et Jerry Lee Lewis. Il parle également de la nostalgie ressentie par les jeunes générations face à sa vie riche en expériences musicales.

Très attaché aux objets et souvenirs, Albert se considère comme un conservateur, car ces objets représentent des moments précieux et des personnes aimées. Il reconnaît avoir des défauts, mais estime que sa plus grande qualité est la persévérance dans ses disciplines artistiques, principalement la musique et la peinture, qui ont toujours été des priorités dans sa vie.

Albert aborde aussi les défis de son parcours, notamment ses difficultés scolaires et la musique apprise à l’oreille sans les outils modernes. Il se décrit comme quelqu’un de franc, parfois au détriment de la diplomatie, ce qui lui a valu des ennuis, surtout dans ses relations professionnelles. Malgré cela, il valorise l’honnêteté et la franchise, préférant résoudre les conflits par le dialogue.

Il n’a aucun regret concernant sa vie et referait les mêmes choix. Albert aspire à une vie équilibrée et saine, appréciant la liberté qu’il a toujours eue dans ses choix artistiques et personnels. Sa plus grande peur concerne l’avenir et les défis qu’il pourrait rencontrer, mais il reste optimiste et attaché à sa passion pour la musique, qu’il considère comme le pilier de sa vie.

Albert conclut en soulignant l’importance de l’honnêteté, de la franchise et du dialogue dans les relations humaines. Il reconnaît que les amitiés peuvent être fragiles et estime que la capacité à s’expliquer et à comprendre l’autre est essentielle.

Un financement participatif est mis en place pour financer le projet « Raconte moi ». Suivez le lien ci-dessous pour en savoir plus :
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