Thomas partage ses souvenirs de rêves d’enfance et la manière dont ils ont été influencés par son environnement et ses expériences personnelles. Il raconte comment, chaque nuit, il se souvenait de ses rêves, ce qui est plutôt rare. Un rêve récurrent le transportait à l’époque de la Renaissance, dans les rues autour du Colisée de Rome, où il était poursuivi par des chiens féroces. Ce rêve, lié à son amour pour le jeu Assassin’s Creed, se mélangeait à ses peurs réelles des chiens, nées d’incidents vécus dans son enfance.
Thomas évoque également d’autres rêves fascinants, souvent liés à ses passions pour le feu et l’océan. Il explique comment la culture bretonne, avec des traditions comme le « Denping », où des effigies géantes étaient brûlées lors de fêtes, a nourri son imaginaire. Enfant, il était aussi fasciné par la mer, un élément qui se retrouvait fréquemment dans ses rêves, malgré sa crainte des dangers liés à l’océan, renforcée par ses expériences de skim et de bodyboard sur les côtes bretonnes.
Grâce à une imagination débordante, Thomas parvenait parfois à créer des scénarios complets dans ses rêves, inspirés par des univers comme Star Wars. Il partage comment ces rêves l’ont souvent aidé à développer des idées pour ses projets d’écriture. Enfin, il conclut en expliquant que son imaginaire a pris une place centrale dans sa vie, jusqu’à l’amener à étudier la sociologie de l’imaginaire.