Aline partage sa vision des relations humaines, et en particulier de l’amitié. Elle explique ce qu’elle admire le plus chez les autres : la joie de vivre spontanée, ce côté entier, sans filtre, presque enfantin, qu’elle trouve beau et libérateur. À l’inverse, ce qu’elle supporte le moins est la méchanceté gratuite et la violence, qu’elle ne comprend pas et qui la blesse profondément, même en simple observatrice.

Elle parle aussi de l’impulsivité, un défaut qu’elle pardonne volontiers, tant qu’il ne vient pas du cœur ni d’une intention de nuire. Elle y voit parfois le débordement d’émotions longtemps retenues — quelque chose d’humain, à apprivoiser plutôt qu’à juger.

Aline évoque ensuite sa façon de vivre l’amitié : sans attentes figées, mais avec fidélité, sincérité et profondeur. Elle aime prendre spontanément des nouvelles, sans attendre en retour, et privilégie la qualité des liens plutôt que la quantité. Pour elle, une vraie amitié se reconnaît à l’authenticité : pouvoir être soi, sans posture, dans les bons moments comme dans les moins beaux.

Elle raconte enfin ses plus belles rencontres amicales, celles qui ont marqué sa vie, parfois même influencé son destin. Des amitiés qui durent depuis 20 ans, malgré la distance — preuve que pour elle, un lien vrai ne s’efface jamais.