Virginie partage son expérience personnelle et son rapport complexe aux émotions, en particulier face aux difficultés qu’elle rencontre pour pleurer. Bien qu’elle sache que pleurer n’est pas un signe de faiblesse, elle a longtemps eu du mal à l’accepter en raison de croyances profondément ancrées. Elle parle de l’importance, pour elle, de garder une apparence souriante et positive, notamment en tant que femme, pour ne pas laisser transparaître sa tristesse ou ses moments de vulnérabilité.
Grâce à l’accompagnement d’une psychologue, d’une réflexologue et au soutien de sa famille, Virginie commence peu à peu à apprivoiser ses émotions. Elle évoque la difficulté de gérer les situations douloureuses de sa vie passée, qu’elle abordait toujours avec un sourire, refusant de montrer son mal-être. Aujourd’hui, elle a trouvé des moyens d’expression, comme pleurer devant des films, et commence à comprendre l’importance de laisser sortir ses émotions.
Elle reconnaît qu’il y a une différence entre savoir qu’il est bon de pleurer et parvenir à le faire, mais elle est déterminée à gagner en maturité émotionnelle. Virginie est convaincue qu’elle finira par trouver le juste équilibre entre accepter ses émotions et les exprimer de manière saine.