Marc partage ses réflexions sur son rôle social et son parcours de vie. Il se voit comme un citoyen parmi d’autres, revendiquant le droit d’exprimer son opinion et de participer, à sa manière, à la construction de la société. Après avoir consacré une grande partie de sa vie à aider les autres, Marc profite désormais de sa retraite pour prendre du recul sur l’engagement militant, tout en restant prêt à apporter son soutien ou à contribuer quand il le peut.

Marc se décrit comme un citoyen du monde. Sa vie, marquée par de nombreux déménagements, lui a offert une certaine liberté et une ouverture d’esprit. Bien qu’il soit attaché à son village natal, la réalité de la vie l’a poussé à s’installer ailleurs, faute de travail dans sa région d’origine, l’Ariège. Il évoque avec humour et lucidité sa mobilité, citant une phrase de Georges Brassens sur « les imbéciles heureux qui sont nés quelque part », tout en assumant cet attachement affectif à ses racines.

Son parcours l’a mené du Gers à l’Oise, où il a découvert une autre ambiance et rencontré des personnes extraordinaires. Marc souligne que certaines de ses plus anciennes amitiés sont nées durant cette période en Picardie, une région qu’il évoque avec beaucoup de chaleur et de reconnaissance.

À travers ce témoignage, Marc nous offre une réflexion sincère et touchante sur le rôle de citoyen, le sens de l’appartenance, et l’adaptabilité face aux aléas de la vie.