Marie-Claude partage avec force et authenticité son rapport au masculin, à l’autorité et à sa propre part de dominance.
Juriste de formation et profondément attachée à la justice, elle explique comment, dans sa vie professionnelle comme personnelle, elle a toujours cherché à monter en responsabilité pour éviter d’avoir une hiérarchie au-dessus d’elle.
Elle assume une personnalité déterminée, refusant toute forme d’autorité injuste et n’hésitant pas à s’imposer lorsqu’on essaie de la contraindre.
Elle se décrit comme féminine mais avec un fort côté masculin assumé, en constante réflexion sur ce que cela signifie aujourd’hui d’être une femme. P
lus qu’une réponse toute faite, elle revendique un questionnement vivant, honnête, parfois provocateur, mais toujours lucide sur les rapports de pouvoir, de genre et de justice.