Jean-Pierre partage sa vision de l’écologie. Pour lui, ce mot est devenu politique, alors que respecter la nature devrait être une évidence. Depuis toujours, il veille à ne rien jeter dehors, à laisser les lieux propres, à ramasser les crottes de son chien… des gestes simples, souvent considérés comme insignifiants, mais qui représentent pour lui le vrai respect de la nature.
Jean-Pierre dénonce une société où la nature est trop souvent sacrifiée aux intérêts économiques. Il ne cache pas son rejet de l’argent, qu’il considère comme une force destructrice : “c’est le fric qui tue le monde”. Il cite des scandales comme le Mediator ou le sang contaminé pour montrer comment l’appât du gain peut conduire à sacrifier des vies humaines et la planète.
Entre lucidité, colère et engagement moral, ce témoignage interroge notre rapport à l’écologie, à la responsabilité individuelle et collective, et au pouvoir de l’argent.