Michel partage avec sincérité sa vision des femmes, des hommes et des dynamiques sociales qui les entourent. Il explique à quel point il apprécie la compagnie des femmes, qu’il trouve plus sensibles, plus fines et plus complices que les hommes. Selon lui, si le monde était dirigé par des femmes, il serait probablement plus équilibré, car elles possèdent une sensibilité que la plupart des hommes n’ont pas — à l’exception, dit-il, de certains artistes qui partagent parfois cette finesse.

Michel parle également de son rapport souvent complexe avec les hommes. Il observe qu’entre deux hommes, un rapport de force apparaît presque automatiquement, comme si chacun cherchait à dominer l’autre. Dans son propre vécu, cette dynamique est renforcée par la compétition, la jalousie ou l’envie, parfois liés à son métier et à son réseau. Même avec des amis qu’il aime beaucoup, il ressent souvent cette rivalité sous-jacente.

Il précise cependant que lorsqu’il n’y a pas de rapport de force, tout se passe très bien. Ce n’est pas qu’il rejette les hommes, mais il reconnaît avec humour que son désintérêt pour le football “élimine déjà une bonne partie de la population masculine”. Au final, son choix est clair : Michel se sent naturellement plus à l’aise, plus libre et plus en harmonie auprès des femmes.

Un témoignage simple, vrai et inattendu, qui interroge nos relations, nos comportements et la place de la sensibilité dans notre société.