La bio séduit et se développe très vite. En France, elle représente aujourd’hui 4% des surfaces, 5%
des fermes et 7% de l’emploi agricole (Source : Agence Bio, 2014). Et plus la bio s’étendra, moins
elle fera peur. D’autant plus que les crises — baisse des prix de vente, etc — font réfléchir les
agriculteurs conventionnels.
Mais la conversion reste compliquée : l’agriculteur change de conseiller, de filière commerciale, de
réseau social, sans compter les voisins susceptibles de l’ignorer…