Mark raconte son profond désarroi face à l’état de la culture en France. Malgré des investissements colossaux – parfois plus importants que dans l’automobile – il constate un manque de résultats, d’innovation et de renouvellement. Il compare cette inertie à des cultures plus ouvertes, où chacun peut créer et participer librement.
À travers ses expériences dans des festivals, notamment aux côtés de figures marquantes et de projets artistiques spectaculaires comme Urban Sax, il évoque la puissance de l’art de rue, capable de rassembler des dizaines de milliers de personnes autour de créations inédites. Pour lui, la culture doit être vivante, accessible, partagée, et surtout, capable de toucher ceux qui n’y ont jamais eu accès.
Mark défend une vision d’une culture ouverte, moins centrée sur le profit, mieux répartie dans le temps, et tournée vers la découverte. Il raconte comment la créativité peut surgir du bricolage, de la débrouille, d’un ballon de caoutchouc trempé dans la peinture, ou de sculptures en ferraille. Pour lui, la culture développe le sens, l’œil, la personnalité. Elle apprend à décrypter les artistes et à comprendre les messages cachés derrière les œuvres.
Son témoignage est un plaidoyer vibrant pour une culture humaine, populaire, émerveillante, qui élève chacun et qui se transmet comme une évidence : de main en main, d’esprit à esprit.